• Banniere Hospital I.T 806 100psd
Lomé : la grande promesse du maire du Golfe 7 aux Zemidjan-men

Lomé : la grande promesse du maire du Golfe 7 aux Zemidjan-men

Dans la commune du Golfe 7, le bien-être des conducteurs de taxis-moto, communément appelés Zemidjan-men et de leur famille était au centre d’une discussion tenue la semaine dernière. Lors des échanges, le maire de la commune a promis une assurance-maladie à ces importants acteurs du trafic urbain. 

Les Zemidjan-men du Golfe 7 accueillent la grande nouvelle

Monsieur Aimé Koffi Djikounou promet de souscrire tous les conducteurs de taxis-moto de son giron à une assurance-maladie à partir du 15 mars. C’était au cours d’une rencontre qui visait à échanger sur plusieurs sujets d’intérêt général avec les concernés.

Après avoir exprimé sa gratitude aux différentes organisations syndicales pour leur présence à la rencontre, le maire a réitéré son désir de voir tous les conducteurs de sa commune souscrit à une assurance afin d’être couvert d’accidents de circulation. 

Lire sur : Accès au service d’eau potable : bonne nouvelle pour les habitants du Golfe 7

Il a ensuite entretenu l’assistance sur le phénomène du terrorisme qui sévit en Afrique subsaharienne et nord du pays. Sur ce sujet, le premier responsable de la commune a invité les acteurs à faire plus preuve de vigilance dans leur déplacement. 

Pour Koffi Djikounou, les conducteurs sont appelés à être des sources privilégiées et fiables d’information et de renseignement pour les autorités.

En outre, l’autorité communale a sensibilisé son auditoire sur le désengorgement des voies publiques en cours. Le Maire a, à cet effet, invité les conducteurs de taxi moto à passer le message. 

Rappelons que la commune du Golfe 7 est située au nord-ouest de Lomé. Elle regroupe des quartiers comme SegbéLankouviYokoèApedokoeAwatame Sagbado

Afrique du Sud : des nettoyeurs inculpés pour avoir dormi sur des tombes

Afrique du Sud : des nettoyeurs inculpés pour avoir dormi sur des tombes

Une municipalité d’Afrique du Sud a annoncé qu’elle allait inculper ses agents nettoyeurs pour mauvaise conduite. Pour cause, des photos diffusées sur les médias sociaux les montrent assis et dormant sur des tombes.

Bien que la date à laquelle les photos ont été prises ne soit pas claire, The Witness rapporte que les travailleurs appartiennent au département des parcs de la municipalité, qui est responsable du nettoyage des parcs et des installations publiques.

La municipalité va porter plainte contre les nettoyeurs

Ce lundi 20 février, la municipalité de Msunduzi, dans la province du Kwa-Zulu Natal, a déclaré dans un communiqué rendu public, être au courant de ces agissements. Et qualifie par la suite les images montrant les nettoyeurs qui se reposent sur les pierres tombales de « photographies troublantes ».

« La municipalité ne tolérera pas un tel comportement et peut confirmer que des procédures sont en place pour que les impliqués soient accusés de mauvaises conduites et de jeter le discrédit sur la municipalité« , peut-on lire dans le communiqué.

Lire aussi : Afrique du Sud : une scène raciste crée des remous (vidéo)

En Afrique du Sud, les cimetières et les pierres tombales sont tenus en très haute estime par les gens. Ceux-ci y voient des lieux spirituels où ils honorent la mémoire des êtres chers. 

Tech : le Togo compte désormais 3,13 millions d'internautes

Tech : voici le nombre exact d’internautes au Togo

Le Togo compte environ 3,13 millions d’internautes réguliers. C’est ce qui ressort d’une enquête menée par Datareportal dont les résultats ont été mis en ligne le 14 février.

Au total, 68,7 % de la population togolaise possède un mobile. Selon le rapport, la pénétration d’Internet au Togo est de 35 % pour une population totale estimée à 8,95 millions en janvier 2023. Cependant, seulement 775 600 de ces internautes utilisent les médias sociaux, soit 8,7 % de la population totale.

Pour aller plus en détail, les chiffres révèlent que le nombre d’internautes utilisateurs de Facebook, est de 671,5 milles au Togo en début d’année. Par contre, Instagram compte 123,4 milles utilisateurs, indique les chiffres publiés dans les outils publicitaires de Meta. 

En ce qui concerne LinkedIn, on compte approximativement 250 000 membres au Togo. Et enfin, Twitter occupe la dernière place avec le taux le plus faible, soit 73,1 mille utilisateurs. Des chiffres contenus dans l’enquête menée par Datareportal.

Lire aussi : Togo : un homme condamné à 30 ans de prison ; les raisons

Notons que toujours selon la source, seuls 44,2 % de la population togolaise vivent dans des centres urbains.

Nabuch A.

Togo : un homme condamné à 30 ans de prison ; les raisons

Togo : un homme condamné à 30 ans de prison ; les raisons

Au Togo, un homme a été condamné à 30 ans de prison par la Cour d’appel de Kara. L’audience s’est tenue sur plusieurs jours et il a finalement été reconnu coupable par les membres du jury. Le sieur B.G. (son initiale d’identité) est poursuivi pour complicité de traite de personnes.

Les faits se sont produits en 2017. À l’époque, B.G, demeurant et domicilié à Dapaong, a reçu la visite de ses amis burkinabè qui étaient commerçants de poisson. Durant leur séjour, l’un d’entre eux a manifesté de l’intérêt pour D.M, la nièce du jeune homme. Le commerçant voulait la marier et en a parlé à son ami. B.G a donc décidé d’employer tous les moyens pour satisfaire le commerçant.

Le geste qui coûtera 30 ans de prison

Au moment où les commerçants s’apprêtaient à quitter la ville, le sieur B.G a réussi à convaincre sa nièce de les accompagner, cette dernière n’avait que 17 ans à l’époque. Quelques mois plus tard, la mère de la jeune fille (qui n’est autre que la petite sœur de l’accusé) s’est rendue chez lui pour une visite. Mais grande fut sa surprise en découvrant que sa fille ne vivait plus avec son oncle.

Après avoir mené des recherches qui n’ont pas abouti, elle a décidé de convaincre son grand frère à la Brigade de Gendarmerie de leur ressort. Une convocation à laquelle B.G ne répondra pas, puisque, motivé par la peur, il fuira la ville pour se rendre à Lomé.

Après avoir passé 2 ans dans la capitale togolaise, le jeune a décidé de retourner dans sa ville. Malheureusement pour lui, il a été accueilli par les policiers qui l’ont déféré à la prison civile en attendant son procès.

Lire aussi : Togo : de la prison pour les auteurs de grossesses en milieu scolaire

Durant les audiences, il n’a pas reconnu les faits qui lui sont reprochés. Mais après l’exposition de l’affaire aux membres du jury, il a été reconnu coupable et condamné à 30 ans de prison avec 20 ans de sursis. Il paiera également une somme de 20 millions de FCFA requise par le Ministère public.

Une lourde peine qui devrait dissuader ces parents qui sont tentés de traiter leurs enfants comme des objets.

Elom

Grand Lomé : l'INSEED enquête sur les conditions de vie des ménages de 45 quartiers pauvres

Grand Lomé : l’INSEED enquête sur les conditions de vie des ménages de 45 quartiers pauvres

Ce lundi 20 février, l’Institut national de la statistique et des études économiques et démographiques (INSEED) a ouvert une enquête sur les conditions de vie des ménages dans le Grand Lomé. L’initiative s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des activités du financement additionnel du projet des Filets sociaux de base (FSB), porté par l’ANADEB.

Enquête sur les conditions de vie des ménages

Le sondage vise à obtenir des données sociodémographiques et de renseigner sur plusieurs notions comme les niveaux d’éducation, de santé, l’alimentation, le logement et l’accès aux services sociaux des ménages. 

Au total, 45 quartiers pauvres répartis dans les préfectures d’Agoe-Nyvié et du Golfe sont ciblés. Dix quartiers pilotes-bénéficiaires sont déjà retenus à cet effet. La liste est consultable sur Togo Presse, les communes et auprès des chefs quartiers

En rappel, le projet Filets sociaux de base a été lancée en 2018 par les autorités publiques afin de porter assistance aux communautés défavorisées, en leur assurant un meilleur accès aux mécanismes de sécurité sociale et ainsi améliorer leurs conditions de vies. 

Lire aussi : Certificat de Nationalité : la délivrance du duplicata désormais possible dans le Golfe et Agoè-Nyivé

Les résultats satisfaisants obtenus après 4 ans de mise en œuvre ont ouvert la voie à un financement additionnel de la Banque Mondiale.

 

Nabuch A. 

Togo : un grave accident de circulation bloque la RN1 à hauteur de Kara

[Alerte]Togo : un grave accident de circulation bloque la RN1 à hauteur de Kara

Un grave accident de circulation est survenu sur la route nationale numéro 1 (RN1) entre la ville de Kara et Niamtougou.  Selon les informations rapportées par la police nationale togolaise ce jeudi 16 février, un camion-citerne a percuté un autre transportant du blé sont sur le Pont Kpelou, le premier pont après le campus nord de Kara en allant vers Niamtougou.

La RN1 est actuellement fermée au niveau du drame, informe la police sur un communiqué publié sur Facebook. En effet, l’accident a provoqué un incendie sur le pont. Néanmoins, on note 0 perte en vie humaine et blessés.

RN1 bloqué, voici les déviations possibles

La police a, par ailleurs dans sa note, indiqué aux usagers de la route nationale n°1 que deux déviations sont possibles pour l’heure. 

Lire aussi : Togo : Masta Just victime d’un grave accident de circulation !

Au niveau de la ville de Kanté, les véhicules sont déviés vers Sarakawa pour ceux venant du nord vers le sud. Et pour ceux qui vont au nord, sont déviés au niveau de Tchitchao, vers Sarakawa-Broukou et Kanté.

Excellente nouvelle pour Aristo le Blédard : ses 02 gardes du corps désormais libres

Excellente nouvelle pour Aristo le Blédard : ses 02 gardes du corps désormais libres

En ce jour du 16 février 2023, une bonne nouvelle est parvenue à Aristo le Blédard. Ses deux gardes du corps, Fossi et Arisko, ont finalement recouvert la liberté. L’influenceur avait annoncé leur libération dans un direct sur sa page Facebook, devant près de 5000 spectateurs.

En effet, Aristo le Blédard et ses gardes du corps ont été mis aux arrêts après la publication d’une vidéo dans laquelle ils ont été vus en train de semer le trouble sur le site du Centre Togolais des Expositions et Foire de Lomé. Après son interpellation, ses proches ont publié un communiqué dans lequel ils ont notifié que son séjour en prison est à durée indéterminée.

Libéré, Aristo le Blédard vol au secours de ses protégés

Parmi les trois, Aristo le Blédard est celui qui a premièrement recouvert la liberté. Le 16 janvier dernier, les fans l’ont accueilli avec une grande joie à travers des publications sur les réseaux sociaux. Durant le premier direct effectué sur sa page, Aristo le Blédard a annoncé la libération de ses deux gardes du corps, prévue pour le 16 février.

« Fossi et Arisko sont toujours en prison, mais je ne suis pas inquiet pour eux. Ils vivent dans de bonnes conditions, je leur ai même envoyé de la bonne nourriture. Ils mangent mieux que ceux qui ne sont pas en prison.

Nous avons continué de demander pardon pour qu’ils soient libérés. Le 16 février prochain, ils le seront. J’avais prévu voyager, mais je ne le ferai plus. J’attendrai leur libération d’abord », avait-il déclaré.

Fossi et Arisko désormais libres, la communauté Aklaa jubile

Toute la communauté Aklaa a réagi à la libération des deux gardes du corps. Une fois de retour, un somptueux repas leur a été servi. Aristo le Blédard, actuellement à Paris, a jubilé de joie après avoir appris la bonne nouvelle.

Les membres de son staff a publié une vidéo montrant Fossi et Arisko en train de déjeuner dans une ambiance conviviale. Les fans de l’influenceur ne sont pas restés en marge de cette célébration. Ils ont publié des photos des deux gardes du corps avec des messages de bienvenue.

La tempête est donc passée et tout est rentré dans l’ordre. Vivement qu’Aristo le Blédard retienne la leçon et se conforme désormais aux lois qui régissent le pays. Il prévoit d’ailleurs un grand festin pour célébrer cette fin heureuse.

Elom

 

Togocom : l'activité Wifi Zone est licite, tranche l'ARCEP

Togocom : l’activité Wifi Zone est licite, tranche l’ARCEP

L’activité du Wifi Zone est licite au Togo. C’est ce qu’a annoncé l’Autorité de Régulation des Communications Électroniques et des Postes (ARCEP) ce 15 février dans un communiqué de presse.

En effet, la note fait suite à publication du communiqué de Togocom relative à la désactivation prochaine des lignes Fibre utilisées à des fins commerciales (Wifi Zone). Dans son communiqué, l’ARCEP tient à faire une mise au point afin d’éviter tout amalgame.

Wifi Zone, l’ARCEP trouve licite l’activité

Ainsi, l’autorité de régulation informe qu’au regard du cadre légal et réglementaire qui régit les communications électroniques au Togo, l’activité de fourniture de service à valeur ajoutée qui est régie par le régime de déclaration à l’ARCEP est bien licite.

Les Wifi Zone ne sont pas interdites par la règlementation en vigueur si elles sont exercées conformément au cadre règlementaire, notamment la LCE, le décret sur les régimes, la décision n° 226/ARCEP/DG/22 du 30 décembre 2022 sur les dispositifs composés d’appareils de faible puissance et de faible portée, prise en application par l’article 48 de la LCE.

Lire aussi : Togo : Taama trouve « stupide » la désactivation des Wifi-Zone

Par ailleurs, l’autorité rappelle aux fournisseurs que le Wifi Zone participe à l’inclusion numérique. Elle permet aux consommateurs à faibles revenus de pouvoir jouir d’un accès au haut débit à des frais abordables.

Enfin, par cette note, l’ARCEP invite les fournisseurs d’accès Internet à proposer des offres alternatives favorable à ce commerce et, d’autre part, les propriétaires de Wifi Zone à se conformer aux dispositions qui encadrent l’activité.

Bénin : une messe célébrée en mémoire des victimes du drame de Dassa

Bénin : une messe célébrée en mémoire des victimes du drame de Dassa

Le lundi 13 février, une messe catholique a été célébrée en mémoire des personnes décédées dans l’accident survenu à Dassa, le 29 janvier.

La communauté catholique de Dassa-Zoumè s’est réunie pour prier pour les âmes des personnes décédées dans l’accident de voiture. Au cours de la célébration, le père a imploré le Créateur d’accorder le repos éternel aux victimes.

Une messe suivie d’une descente sur les lieux du drame de Dassa

Après la célébration eucharistique, Mgr François Gnonhossou, le célébrant de la messe et les fidèles se sont rendus sur les lieux de l’accident pour prier pour les âmes des personnes disparues.

Pour rappel, cet accident est survenu suite à la suite d’une collision entre un bus de Baobab Express et un camion. 24 morts sont déplorés avec plusieurs rescapés hospitalisés au CNHU de Cotonou.

Par ailleurs, certains corps ont été calcinés. Une situation qui a rendu l’identification complexe. Le gouvernement a donc mis en place un comité scientifique pour procéder à des tests d’ADN.

Les familles des victimes convoquées à une séance

Les familles des différentes victimes ont été convoquées à une séance qui s’est tenue le 6 février au Palais des Congrès de Cotonou. Convoquée par le ministre Benjamin Hounkpatin, cette séance s’inscrit dans le cadre des travaux du comité d’experts mis en place par le gouvernement.

Lire aussi : Drame : incendie d’un bus universitaire avec des étudiants à bord

Les parents des victimes ont été convoqués dans le but d’identifier leurs corps. Et pour faciliter les travaux d’identification, les corps ont été mis sous scellé judiciaire.

 

Togo : les conducteurs de tricycle doivent désormais passer le permis

Togo : les conducteurs de tricycle doivent désormais passer le permis

Désormais au Togo, les conducteurs de tricycle, communément appelé « hounvi« , doivent obligatoirement passer le permis. L’objectif selon les sources officielles est de faire baisser le nombre d’accidents de circulation.

En effet, la population togolaise est friande de « Rickshaw« . À Lomé et comme à l’intérieur du pays, ils sont des milliers. D’après les chiffres officiels, 12 000 conducteurs ont été répertoriés par les autorités publiques.

Le permis obligatoire pour les conducteurs de tricycle

Ces derniers, la plupart, ne disposent pas de permis de conduire, mais n’hésitent pas à surcharger le véhicule en passagers et en marchandises. Ce qui cause fréquemment des accidents.

Lire aussi : Togo : les inscriptions aux BEPC et BAC I se feront désormais en ligne

Après des années d’indulgence, le pouvoir public a décidé à présent de faire place à la loi. Ainsi, les conducteurs de tricycles répertoriés doivent passer le permis sous peine d’une saisie de leurs engins.