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Afrique du Sud : ass@ssinat du rappeur AKA ; les faits

Afrique du Sud : le rappeur AKA assassiné par 2 individus ; les faits

L’univers du rap africain est attristé par la terrible nouvelle liée au rappeur AKA. Ce vendredi 10 février, il a été abattu par deux individus non identifiés.

La famille du rappeur AKA monte au créneau

La nouvelle a été annoncée par la famille du rappeur de 35 ans.

« C’est avec une extrême tristesse que nous apprenons le décès de notre fils bien-aimé. Pour beaucoup, il était AKA, Supa Mega, Bhova et les nombreux autres noms d’affection par lesquels sa légion de fans l’appelait. Notre fils était aimé et a donné de l’amour en retour », ont écrit ses parents Tony et Lynn Forbes sur Twitter.

En effet, le rappeur AKA a été abattu alors qu’il sortait d’un restaurant. Dans un communiqué, la police a indiqué que Kiernan Forbes était en compagnie d’un proche, lorsque deux individus armés se sont dirigés vers eux et ont ouvert le feu.

« Ils auraient été approchés par deux suspects armés qui ont traversé la rue pour aller vers eux et ont tiré sur les victimes à bout portant », a indiqué la police dans le communiqué. Une enquête sera ouverte pour mettre la main sur les coupables.

Ce nouveau meurtre vient de relancer le débat sur l’épineuse question du port d’arme en Afrique du Sud où les fusillades sont courantes.

Pour rappel, en 2022, une série de fusillades a eu lieu dans des bars de la banlieue de Johannesburg et de Pietermaritzburg. Ces fusillades ont fait près de 20 morts.

En Afrique du Sud, de nombreuses personnes sont autorisées à porter des armes à feu pour leur propre sécurité, mais il existe encore de nombreuses armes en circulation.

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RDC Un colonel arrêté pour avoir empoisonné un Général de l'armée

RDC : Un colonel arrêté pour avoir empoisonné un Général de l’armée

C’est la terrible affaire qui fait tâche actuellement à l’armée congolaise. Un colonel a été arrêté pour avoir tué par empoisonnement, son supérieur hiérarchique, le Général Tshinkobo Ghislain.

La justice militaire congolaise va devoir trancher sur une affaire révélatrice des dissensions entre les soldats de la RDC. Le Général Tshinkobo Ghislain, commandant de la 34e régiment militaire, mort le 16 août, serait empoisonné, d’après les premières enquêtes ouvertes par la Cour militaire du Nord-Kivu.

Après l’autopsie du corps d’un défunt, la justice militaire a arrêté le Colonel Kahombo Augustin, son subalterne. Il est suspecté d’être l’auteur de l’empoisonnement aux phénothiazines, des produits reconnus très toxiques entraînant une brûlure d’estomac. Les résultats de l’autopsie, rendus publics le 10 septembre, montraient que le Général a bel et bien été empoisonné trois jours avant son décès.

Le Général Tshinkobo Ghislain

Le Général Tshinkobo Ghislain n’était affecté dans le Nord-Kivu que l’année dernière. La justice est à pied d’œuvre pour découvrir le mobile de son assassinat.

Équateur : Un procureur d'État tué par balle près de son bureau

Équateur : Un procureur d’État tué par balle près de son bureau

Le procureur d’État, Edgar Escobar, en charge des féminicides, a été assassiné à Guayaquil, dans le sud de l’Équateur. Deux suspects ont été arrêtés peu après le drame.

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Selon les informations de Cnews, les faits se sont déroulés près de son bureau. Le procureur Edgar Escobar était en charge de traiter les féminicides dans le pays. Il était également membre de « l’unité des personnes et garanties » du ministère public en charge d’enquêter sur les crimes de haine. Pour l’heure, les raisons de l’assassinat restent inconnues des forces de l’ordre.

Ce nouveau meurtre intervient alors que le sud-ouest de l’Equateur, gangrené par le narcotrafic, connaît une vague de violences sans précédent. En moins de cinq mois, Edgar Escobar est le troisième magistrat tué par balle dans le pays.

Argentine : Tentative d'assassinat contre la vice-présidente Cristina Krichner

Argentine : Tentative d’assassinat contre la vice-présidente Cristina Krichner (vidéo)

Ce jeudi, Cristina Krichner, la vice-présidente de l’Argentine, a été la cible d’une tentative d’assassinat à Buenos-Aires. Le suspect, un homme de nationalité brésilienne a été arrêté.

Sur les images de la scène, on voit l’homme pointé une arme chargée vers la tête de la vice-présidente, à quelques mètres à peines. Mais aucun coup de feu n’a été tiré. Les faits se sont déroulés en bas de chez elle alors qu’elle signait des livres et saluait des sympathisants. Le suspect fut rapidement saisi par la police. D’après plusieurs médias, il serait dans la trentaine.

« Cristina est en vie, car pour une raison qui n’a pas encore été confirmée techniquement, l’arme qui contenait cinq balles n’a pas fait feu bien qu’ayant été déclenchée », a déclaré le président argentin Alberto Fernandez dans une allocution.

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L’incident a suscité une vague de condamnations de la classe politique du pays et à l’international. Alberto Fernandez a dénoncé un fait « d’une énorme gravité, le plus grave survenu depuis que notre pays a retrouvé la démocratie » en 1983.

Il a également décrété un jour férié national ce vendredi, « pour que dans la paix et la concorde le peuple argentin puisse s’exprimer en défense de la vie, de la démocratie, et en solidarité avec notre vice-présidente ».