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Annexion de la Russie en Ukraine : Togo, Mali (…) liste des pays africains qui n’ont pas condamné à l'ONU

Annexion de la Russie en Ukraine : Togo, Mali (…) liste des pays africains qui n’ont pas condamné à l’ONU

L’Assemblée générale de l’ONU a tranché mercredi sur les agissements de la Russie en Ukraine notamment l’annexion de la Russie des régions ukrainiennes. A l’issue du vote qui a réuni les 193 Etats membres, l’assemblée a condamné avec une majorité écrasante les « annexions illégales » russes de territoires ukrainiens.

Un débat portant sur le projet résolution après l’utilisation par la Russie de son droit de veto au Conseil de sécurité sur sa tentative d’annexion a démarré depuis lundi.

Ainsi, Csaba Kőrösi, le Président de l’Assemblée générale, a appelé à « trouver une solution politique basée sur la Charte des Nations Unies et le droit international ».

En effet, l’Assemblée générale des 193 Etats membres réunie, 143 voix ont voté pour condamnant les agissements de la Russie. Cinq pays ont voté contre la condamnation et 35 se sont abstenus.

Au total, 23 pays africains se sont abstenus. Il s’agit de :  Togo, Mali, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Congo Brazzaville, Djibouti, Guinée Equatoriale, Erythrée, Eswatini, Ethiopie, Guinée, Lesotho, Namibie, Ouganda, Soudan, Sud Soudan, Tanzanie, Zimbabwe, Afrique du Sud, l’Algérie, La Centrafrique, Sao Tomé.

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Parmi les pays africains qui ont voté pour, il y’à entre autres, le Bénin, le Sénégal, la Sierra Léone, le Rwanda, Libéria, Lybie, la Cote d’Ivoire.  

Une guerre diplomatique entre les occidentaux et la Russie en Afrique dont visiblement les votes démontrent la force de chacun sur le continent.

Rappelons qu’en 2014, lorsque l’Assemblée générale des Nations unies avait condamné l’annexion de la Crimée par la Russie, la résolution avait reçu le soutien de 100 pays, tandis que 11 avaient voté contre et 58 s’étaient abstenus.

Ukraine à l'OTAN : "Tous les pays européens trembleront..." La Chine avertit les États-Unis

Ukraine à l’OTAN : « Tous les pays européens trembleront… » La Chine avertit les États-Unis

La Chine met en garde les États-Unis sur les graves conséquences qui découleraient de l’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Une guerre nucléaire, voilà ce qui plane sur nos têtes si ce pays de l’Est rejoint l’organisation.

La situation en Ukraine pourrait se compliquer davantage. Décidée à rejoindre le bloc ouest, Kiev est actuellement sous le bombardement russe. Alors que la guerre bat son plein, le gouvernement chinois avertit les USA sur ce qui se pourrait se passer si l’Ukraine entre officiellement dans l’OTAN. Ce sera une guerre nucléaire, prévient Pékin.

« Tous les pays européens trembleront à l’ombre d’une éventuelle guerre nucléaire », rapporte le journal public Global Times.

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Le gouvernement chinois déplore les propos va-t-en-guerre des États-Unis. Ces derniers, en plus de souffler sur les braises, fournissent des armes à l’Ukraine.

« Au lieu de poursuivre des résolutions pour mettre fin au conflit, Washington a, à maintes reprises, montré que les États-Unis chargeaient dans l’autre sens, attisant les flammes de la guerre ».

En cas de guerre nucléaire, tous les camps seraient perdants, y compris les États-Unis qui attisent le conflit ukrainien, estime la Chine. Afin d’éviter une fin apocalyptique, Xi Jiping conseille à Joe Bien, une approche diplomatique.

États-Unis : Quand Joe Biden s'adresse à une parlementaire décédée et crée la polémique (vidéo)

États-Unis : Quand Joe Biden s’adresse à une parlementaire décédée et crée la polémique (vidéo)

Le président américain, Joe Biden, vient de relancer le débat sur son état de santé mentale. Lors d’un discours ce mercredi 28 septembre, l’homme âgé de 79 ans, s’est adressé à une parlementaire républicaine décédée, mettant ainsi la Maison Blanche dans une nouvelle sauce.

Un moment de malaise pour les proches de Joe Biden. Le président américain a une nouvelle fois, poussé, sa porte-parole à éteindre un début de polémique.

Lors d’une allocution consacrée à la lutte contre l’obésité et l’insécurité alimentaire, le chef d’État américain s’est interrogé sur l’absence de l’ancienne membre de la Chambre des représentants, Jackie Walorski. Cette dernière, très engagée dans la lutte contre la malnutrition, était décédée dans un accident de voiture en août dernier. Ce que semble oublié Joe Biden.

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« Où est Jackie ? », a-t-il lancé devant le public.

Cette question a naturellement interloqué les journalistes. En effet, la Maison Blanche avait publié dans un communiqué que le président se disait choqué et attristé après la mort de Jackie. Aurait-il oublié ?

Interrogée sur la question, Karine Jean-Pierre, sa porte-parole, n’a pas réellement répondu. Selon elle, Joe Biden pensait très fort à la défunte lors de cet événement auquel elle avait contribué.

Conflit ukrainien : départ immédiat des américains en Russie, la raison

Conflit ukrainien : départ immédiat des américains en Russie, la raison

La tension monte au jour le jour entre l’Ukraine et la Russie et par ricochet aux Etats-Unis, l’un des soutiens de l’Ukraine. L’on se demande à quand la fin de ce conflit ukrainien. Dans son soutien à l’Ukraine, les Etats Unis, dans une sortie par leur ambassade en Russie, demande encore une fois, la sortie immédiate de ses ressortissants.

Sommer de quitter dans les plus brefs délais, l’ambassade évoque une possible conversion de ses ressortissants en soldats russes.

« La Russie peut refuser de reconnaître la citoyenneté américaine des binationaux, leur refuser l’accès à l’assistance consulaire américaine, empêcher leur départ de Russie et enrôler les binationaux pour le service militaire ».

Visiblement, les Etats-Unis craignent la « prise en otage » de ses ressortissants dans l’armée ou encore des américains qui deviennent carrément russe. Pour cette raison, le pays de Joe Biden demande la sortie dans un bref délai de ses ressortissants.

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La diplomatie américaine en Russie a également fait savoir que quitter la Russie est devenu de plus en plus difficile avec le remplissage des vols et la fermeture des frontières par les troupes de l’armée. « Ceux qui résident ou voyagent en Russie doivent quitter la Russie immédiatement tant qu’il reste des options de voyage commercial limitées », a-t-elle ajouté.

Conflit en Ukraine : Poutine accuse de nouveau les Etats-Unis

Conflit en Ukraine : Poutine accuse de nouveau les Etats-Unis

Pour le président russe, ce sont les dirigeants américains qui mettent en danger le monde en faisant traîner le conflit en Ukraine et en tentant de provoquer d’autres.

Ce mardi, lors de la conférence internationale de sécurité, Vladimir Poutine a accusé les États-Unis de chercher à déstabiliser la planète entière avec la récente visite de Nancy Pelosi à Taïwan. Selon lui, la situation actuelle en Ukraine montre que Joe Biden cherche à « faire traîner ce conflit ».

Dans son allocution, Vladimir Poutine affirme que les Américains agissent de la même manière en cultivant la possibilité d’un conflit en Asie, en Afrique et en Amérique latine.

« L’aventure américaine à l’égard de Taïwan, ce n’est pas simplement un voyage d’une politicienne irresponsable, mais une partie d’une stratégie intentionnelle consciente visant à déstabiliser et à rendre chaotique la situation dans la région et dans le monde », a-t-il affirmé, en réaction à la visite de Nancy Pelosi à Taïwan.

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Une démonstration insolente, provocation soigneusement préparée et un manque de respect envers la souveraineté des autres pays, tels sont les mots du numéro 1 russe à l’égard des actions américaines.

Nigéria : Buhari traîné en justice pour des cartes SIM bloquées, Biden met en garde

Nigéria : Buhari traîné en justice pour des cartes SIM bloquées, Biden met en garde

Le président nigérian, Muhammadu Buhari a été traîné en justice pour son incapacité à débloquer les lignes téléphoniques de plus de 72 millions d’abonnés interdits de passer des appels sur leur carte SIM.

La poursuite intentée par Socio-Economic Rights and Accountability Project (SERAP) fait suite à la récente directive du gouvernement fédéral aux entreprises de télécommunications de bloquer les appels sortants sur toutes les lignes non liées.

Face à la situation, les Etats-Unis mettent en garde contre une cyberattaque contre la Russie.

Un rapport rédigé par la Cybersecurity and Infrastructure Security Agency a mis en garde contre une menace accrue de cyberattaques russes sur les infrastructures critiques.

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De ce fait, il recommande plusieurs actions immédiates que « toutes les organisations » doivent prendre pour protéger leurs réseaux.

Guerre en Ukraine : « contre-réaction », la Russie impose des sanctions aux Etats-Unis

Guerre en Ukraine : « contre-réaction », la Russie impose des sanctions aux Etats-Unis

Alors que les occidentaux ont sanctionnés la Russie et des responsables russes pour la guerre en Ukraine, Moscou a répondu en annonçant mardi, des sanctions contre le président américain Joe Biden et plusieurs hauts responsables américains.

Joe Biden dans la liste

Le président américain Joe Biden, le secrétaire d’État Antony Blinken, le secrétaire à la Défense Lloyd Austin et dix autres responsables de l’administration et personnalités politiques américaines, ont été sanctionnés par la Russie. Cette action de Moscou intervient en représailles au fait que les principaux dirigeants russes, dont le président Vladimir Poutine, ont été placés sur la liste noire par Washington.

Le président Biden figure en tête de la liste des 13 noms, suivi de Blinken et d’Austin. Le président des chefs d’état-major interarmées, le général Mark Milley, le conseiller à la sécurité nationale Jake Sullivan, le directeur de la CIA William Burns et l’attachée de presse de la Maison Blanche Jen Psaki sont également nommés. Plus bas dans la liste, l’ancienne secrétaire d’État Hillary Clinton et le fils de Biden, Hunter, dont les relations avec une entreprise énergétique ukrainienne ont déjà été remises en question et critiquées, sont également inclus.

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Moscou a décrit ces sanctions comme une « contre-réaction » à la « voie extrêmement russophobe prise par l’administration américaine actuelle ». Selon l’agence russe RT, les sanctions incluent l’interdiction à ces personnes d’entrer en Fédération de Russie. Cependant, la déclaration du Kremlin indique que Moscou n’exclurait pas un contact avec des responsables américains « s’ils répondent à nos intérêts nationaux ».

Moscou indique également que d’autres noms seront ajoutés à la liste « dans un avenir proche ». « De hauts responsables américains, des responsables militaires, des législateurs, des hommes d’affaires, des experts et des personnalités des médias qui sont russophobes ou contribuent à inciter à la haine envers la Russie » seront également mis sur liste noire, a averti le Kremlin.

Syrie : le leader du groupe Etat islamique, Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi est mort

Syrie : le leader du groupe Etat islamique, Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi est mort

Le président des États-Unis Joe Biden a annoncé jeudi le succès d’une opération en Syrie, dans la nuit du mercredi 2 février.

Le dirigeant du groupe jihadiste Etat islamique (EI) Abou Ibrahim al-Hachimi al-Qourachi, a été tué lors d’une opération des forces spéciales américaines jeudi 3 février avant l’aube en Syrie, plus de deux ans après l’élimination de son prédécesseur.

L’armée américaine a « éliminé du champ du bataille » le dirigeant du groupe ultraradical lors d’une opération conduite dans le nord-ouest de la Syrie, a annoncé le président américain Joe Biden à Washington. Tous les soldats américains sont sains et saufs, a précisé le président, en annonçant qu’il s’adresserait au peuple américain plus tard dans la matinée.

« La cible terroriste a fait exploser une bombe qui l’a tué »

Selon un haut responsable américain, le chef de l’EI est mort dans une explosion qu’il a lui-même causée lors du raid américain. « Au début de l’opération, la cible terroriste a fait exploser une bombe qui l’a tué ainsi que des membres de sa propre famille dont des femmes et des enfants», a-t-il indiqué.

L’opération héliportée s’est produite à Atmé, une région de la province d’Idlib et a fait treize morts dont quatre femmes et trois enfants, selon l’Observatoire syrien des droits de l’Homme (OSDH).

En octobre 2019, Abou Bakr al-Baghdadi, prédécesseur de Qourachi a été tué dans un raid dans la région d’Idlib contrôlée en grande partie par les djihadistes et les rebelles. D’après l’OSDH, les militaires ont atterri en hélicoptère près de camps de déplacés de la localité d’Atmé et des affrontements ont ensuite éclaté.

Selon des correspondants de l’AFP sur place, l’opération a visé un bâtiment de deux étages dans une zone entourée d’arbres. Une partie du bâtiment a été détruite et le parterre des pièces était couvert de sang.

«Les terroristes internationaux les plus dangereux»

Des habitants ont indiqué à l’AFP avoir entendu le bruit des hélicoptères, puis des «explosions». Selon l’OSDH, les hélicoptères américains ont décollé d’une base militaire dans la ville syrienne de Kobani à majorité kurde, près de la frontière turque.

Des membres des forces spéciales des Forces démocratiques syriennes (FDS), dominées par les Kurdes, et formées par les États-Unis, ont participé à l’opération, d’après l’ONG.

Avant l’annonce américaine, Farhad Shami, le porte-parole des FDS, a déclaré sur Twitter que l’opération «visait les terroristes internationaux les plus dangereux».

Dans un enregistrement audio attribué aux forces américaines et ayant circulé parmi la population, une personne parlant en arabe demande aux femmes et aux enfants d’évacuer les maisons dans la zone visée.

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Selon des experts, des camps de déplacés surpeuplés de la région d’Atmé, située dans le nord de la province d’Idlib, servent de base aux chefs djihadistes qui s’y cachent.

Une grande partie de la province d’Idlib ainsi que des secteurs des provinces voisines de Hama, d’Alep et de Lattaquié sont dominés par Hayat Tahrir al-Cham (HTS), l’ex-branche syrienne d’al-Qaida. Des groupes rebelles et d’autres factions djihadistes comme Houras al-Din y sont également présents.

Ces factions ont déjà été la cible principalement de raids aériens du régime syrien, de son allié russe, mais aussi de la coalition internationale antidjihadistes dirigée par les États-Unis et des forces spéciales américaines.

Néanmoins les opérations héliportées restent très rares en Syrie, où des troupes américaines sont déployées dans le cadre de la coalition antidjihadistes. L’opération de jeudi est intervenue quelques jours après la fin d’un assaut de l’EI contre une prison tenue par les FDS, dans la région de Hassaké (nord-est).

Cet assaut fut la plus importante offensive du groupe djihadiste depuis sa défaite territoriale en Syrie en 2019 face aux FDS aidées par la coalition internationale. L’attaque de la prison et les combats ayant suivi, ont fait 373 morts, dont 268 djihadistes, 98 membres des forces kurdes et sept civils selon l’OSDH.

L’EI, rival d’al-Qaida, a été chassé de ses fiefs en Syrie et en Irak mais continue de mener des attaques dans ces deux pays voisins à travers des cellules dormantes. La guerre complexe en Syrie, pays morcelé où interviennent différents protagonistes, a fait environ 500.000 morts depuis 2011.

Avec AFP

le président Biden critiqué après avoir insulté un journaliste de connard en direct

Etats-Unis : le président Biden insulte un journaliste de connard en direct

Lors d’une séance de travail à la maison blanche le président Joe Biden est tombé dans un écart de langage à l’endroit d’un journaliste.

« Espèce de connard », c’est l’insulte adressée au journaliste de Fox News dans un brouhaha à la fin de la séance. En effet, le journaliste questionnait le président sur l’inflation. En réponse, sur un air ironique, « C’est un grand atout. Plus d’inflation ». Pensant peut-être avoir son micro éteint : « Espèce de connard », a laissé entendre Joe Biden.

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Cette réponse va susciter de vive polémique chez les républicains qui vont sèchement critiquer le président américain.

Une heure environ après l’incident, Joe Biden a appelé le journaliste visé par l’injure, pour l’assurer qu’il n’y avait « rien de personnel » dans sa réaction, qui a surpris et suscité une vague de critiques.

Crise en Afghanistan : « l’homme qui a tué Ben Laden », réagit

Crise en Afghanistan : « l’homme qui a tué Ben Laden », réagit

La crise en Afghanistan continue d’alimenter des débats sur la toile provoquant des grincements de dent. Dans ce sillage, l’homme qui prétend tué Ben Laden monte également au créneau.

Robert O’Neill, ancien militaire américain, qui affirme être l’homme qui a abattu Oussama Ben Laden, n’a pas caché sa colère face au retour des talibans en Afghanistan.

Sur son compte Twitter, l’ex-membre des Navy Seals s’en est directement pris à Joe Biden, qualifiant le président des Etats-Unis de « catastrophe », ou traitant les personnes présentes à la Maison Blanche de « losers ».

Selon lui, la chute de l’Afghanistan aux mains des talibans est «la pire défaite de l’histoire des Etats-Unis ». Et ce revers doit avoir des conséquences sur certains dirigeants.

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Ainsi, Robert O’Neill demande la démission de Mark A. Milley, l’actuel chef d’Etat-major des armées des Etats-Unis. « Des Afghans meurent en tombant de nos avions en fuite. [Milley] a-t-il enfin démissionné ? », écrit-il sur le réseau social.

Décoré à 52 reprises, dont deux Silver Stars et trois Bronze Stars, Robert O’Neill, a fait partie de l’unité Seal Team Six, qui a participé en 2011 à l’opération Neptune’s Spear (Trident de Neptune), qui a conduit à la mort d’Oussama Ben Laden.

Il affirme être celui qui a donné la mort au chef d’al-Qaida, même si certaines sources assurent que ce dernier était quasiment mourant après le tir d’un premier Marine.

Par CNEWS