Suite à l’augmentation des prix des produits pétroliers, le gouvernement togolais a réactualisé aussi les tarifs des transports interurbains des personnes sur l’étendue du territoire national. Une légère hausse par rapport aux anciens tarifs, note-t-on.
Une révision signée dans un arrêté interministériel par les ministères des transports routiers aériens et ferroviaires et celui du commerce, de l’industrie et de la consommation locale.
Les forces de défense et de sécurité togolaise, dans leur mission de rapprochement des populations, multiplient des actions. Opération « Zéro Cataracte », c’est l’initiative qu’a lancé son service de santé en étroite collaboration avec le ministère de la santé et les acteurs locaux.
Elle vise à opérer dix mille (10 000) personnes souffrant de la cataracte et à offrir vingt mille (20 000) lunettes aux populations.
En effet, la première étape de cette opération est en cours dans la région des savanes. Elle a permis à ce jour de mener des consultations auprès de 11 600 patients pour lesquels, il est prévu 3000 opérations de cataractes au lieu des 800 initialement prévus.
Le 27 avril prochain, le Togo célébrera le 62e anniversaire de son accession à l’indépendance. En prélude, les autorités du Grand Lomé s’activent pour une bonne célébration.
Ce mardi 29 mars, a eu lieu, une rencontre d’échanges entre le District, les communes du Grand Lomé et les préfectures du Golfe et d’Agoè-Nyivé.
L’objectif est de passer en revue la stratégie à déployer pour une bonne réussite de la célébration de cette 62e anniversaire d’indépendance du Togo.
Concrètement, les échanges ont essentiellement porté sur le pavoisement des places publiques et stratégiques sur les ressorts territoriaux des municipalités à l’occasion de cette fête.
L’occasion pour le Secrétaire Général du DAGL, Tagba Ataféyinam Tchalim d’exhorté les maires à s’engager plus pour rendre propre leurs communes. Ceci, pour que la commémoration soit remarquable dans toutes les artères du Grand Lomé.
Les travaux ont été présidés par M. Tagba Ataféyinam Tchalim, accompagné des deux préfets du Golfe et d´Agoè-Nyivé respectivement, Kossi Atabuh et Hodabalo Awaté.
Le gouvernement a réagit à la grève du SET (Syndicat des Enseignants du Togo) qualifiée d’illicite par l’autorité. En effet, le ministre de la fonction publique, du travail et du dialogue social, Gilbert Bawara, a signé un arrêté portant mesures administratives et excluant du cadre des fonctionnaires de l’enseignement cent trente-sept (137) enseignants.
« Il s’agit, pour l’essentiel, d’agents qui se sont illustrés de façon répétitive dans des agissements contraires aux exigences d’enseignants en s’obstinant à créer et à entretenir dans ce secteur crucial de la vie nationale qu’est l’éducation, des tensions et perturbations », a posté Gilbert Bawara sur son compte Twitter.
La décision est prise en application des textes en vigueur et précise que les enseignants exclus sont désormais mis à la disposition de l’administration générale, a-t-il précisé dans le post.
Pour le ministre de la fonction publique, les enseignants visés ont affiché un mépris aux lois en vigueur. Et ce, malgré les informations du gouvernement quant au défaut d’existence légale et de représentativité du Syndicat des Enseignants du Togo (SET).
De même, Gilbert Bawara accuse les enseignants virés de continuer « à faire montre d’une attitude de défiance envers l’autorité de l’Etat ». Il ajoute que les mesures administratives prises sont sans préjudice des autres dispositions applicables en cas de préavis ou de grèves illicites.
« Bien naturellement, nous demeurons disponibles et ouverts au dialogue avec tous les acteurs légalement constitués et nous réitérons la ferme volonté du gouvernement à poursuivre les efforts pour réformer et moderniser notre système éducatif », affirme M. Bawara.
Le ministre indique par ailleurs que le « gouvernement continuera sans relâche à agir pour répondre progressivement et durablement aux défis de ce secteur et aux préoccupations des acteurs dont les enseignants qui s’y dévouent admirablement ».
Le gouvernement dans un communiqué, a annoncé l’allègement des mesures relatives au passeport vaccinal et le test PCR à l’Aéroport de Lomé. Ces mesures concernent les voyages au départ et à l’arrivée.
D’après la nouvelle donne, les passagers arrivant au Togo, et qui présentent une preuve de vaccination complète n’auront plus à se soumettre au test PCR. Le test n’est plus exigé comme document sanitaire de voyage. Ainsi, il n’est plus exigé d’effectuer le test PCR à l’arrivée.
Même chose, pour les passagers au départ qui présentent une preuve de vaccination complète. Ils seront dispensés de test PCR à destination d’un pays ne l’exige pas comme document sanitaire d’entrée.
D’après le communiqué, la preuve d’un test PCR négatif sera exigée comme document sanitaire pour les voyageurs non vaccinés, à l’arrivé comme au départ. « Ces voyageurs seront donc soumis à un test PCR à l’aéroport de Lomé », indiqué le communiqué.
En outre, l’autorité rappelle que « la validité des résultats du test PCR est de cinq (5) jours ».
A Lomé, s’est tenue, ce mardi 15 mars 2022, une rencontre importante. Il s’agit de l’Atelier MIGA (Agence multilatérale de garantie des investissements) organisé conjointement avec le gouvernement togolais. Ce dialogue de haut niveau vise surtout à promouvoir les investissements directs étrangers (IDE) en Afrique centrale et de l’ouest.
Etaient présents entre autres à cet atelier MIGA, des investisseurs étrangers internationaux et des représentants des gouvernements du Togo, de la Guinée, de la Côte d’Ivoire et du Sénégal. Du coté du secteur privé, on a noté la participation des entreprises comme Axian, Bechtel Africa, Engie, Infinity Power, Meridiam, Mota Engil, QAIR, SONATEL, Themis, Vinci Highways et Africa 50. Une quinzaine d’entreprises togolaises ont également pris part à cet atelier MIGA. En bref, il a été question pour ces acteurs d’échanger et de partager les bonnes pratiques et les opportunités d’investissements avec les investisseurs internationaux.
L’atelier MIGA, une excellente aubaine
D’après Kodjo Adedze, Ministre du commerce, de l’industrie et de la consommation locale, l’atelier MIGA vient à point nommé, surtout dans le contexte de la crise actuelle de la Covid-19. Par conséquent, elle constitue pour le Togo une excellente opportunité de se vendre et de promouvoir les investissements directs étrangers.
« La rencontre de ce jour est pour nos pays, l’occasion de connaître davantage la MIGA et ses outils d’intervention pour mieux répondre aux préoccupations des investisseurs tout en mettant l’accent sur l’impact des investissements sur le développement de nos pays et la lutte contre la pauvreté », a déclaré le ministre.
Aussi, le ministre Kodjo Adedze a convié les participants à tirer pleinement parti de l’atelier MIGA. « J’exhorte donc nos partenaires ici présents, à examiner favorablement nos requêtes pour mieux répondre à nos besoins en matière d’investissement et permettre de nouer des partenariats gagnant-gagnants aux profits de nos économies », a-t-il ajouté.
Des efforts remarquables
Pour se rendre plus attractifs auprès des partenaires étrangers, le Togo n’a cessé d’initier d’importantes réformes. Ces dernières le placent en bonne position et font de lui une destination où il faut absolument investir. De plus, pour bénéficier d’investissements directs étrangers, le Togo peut aussi compter sur la récente évaluation des politiques et institutions en Afrique (CPIA).
Selon les statistiques de l’institution de Breton Woods, parmi les quatre pays non fragiles ayant connu une évolution positive en matière de qualité de politiques publiques et d’institutions nationales en 2020, seul le Togo a pu opérer une avancée significative par rapport à son score de 3,3 en 2019.
« Je voudrais vous rassurer de la détermination du gouvernement togolais à poursuivre les réformes nécessaires pour soutenir la compétitivité globale de l’économie nationale », a martelé Kodjo Adedze.
Pour rappel, depuis sa création, la MIGA a émis plus de 65 milliards USD de garanties dans 120 pays en développement.
Chaque Epervier dame sera récompensé pour la qualification historique à la CAN Maroc 2022. Chaque joueuse recevra ainsi 5 millions FCFA pour prime de qualification. L’information émane du ministre des sports Dr Lidi Bessi-Kama.
Selon la ministre en charge des sports, pour avoir qualifié le Togo pour la prochaine Coupe d’Afrique des Nations, chaque joueuse obtiendra une récompense de 5 millions FCFA.
Une façon de motiver les ambassadrices nationales qui se préparent activement pour les phases finales. Cette grande messe est prévue du 02 au 23 juillet 2022.
Pour rappel, les togolaises ont battu leurs homologues gabonaises en aller et retour par 4 buts à 2. Obtenant ainsi leur première qualification pour la compétition continentale.
Variant omicron, c’est le nom du nouveau virus plus contagieux que la covid-19 détecté en Afrique du Sud. En effet, les gouvernements prennent des précautions pour empêcher le mal d’intégrer sur leur sol. C’est le cas du Togo qui dans un communiqué annonce des mesures en lien avec ce nouveau variant.
Elle concerne les voyageurs en provenance d’Afrique du Sud. Selon le communiqué, ces voyageurs subiront une quarantaine de 72 heures à leur arrivée au Togo.
« En raison des informations faisant état du variant du coronavirus OMICRON récemment découvert en Afrique du Sud, je vous demande de mettre systématiquement en quarantaine pour soixante-douze (72) heures et à la charge des intéressés, tous les passagers en provenance de ce pays. », indique un communiqué signé par le ministre, Prof. Moustapha Mijiyawa, à la Direction générale de l’Aéroport international Gnassingbé Eyadema (AIGE) de Lomé.
La phase éliminatoire du groupe H pour la coupe du monde Qatar 2022 débutera ce 1er septembre 2021. Ainsi, les Eperviers du Togo croiseront les crampons avec les Lions de la Teranga du Sénégal au Stade Lat Dior.
Le match qui sera joué à huis clos sera diffusé en direct sur la chaine Youtube de la FIFA à partir de 16h GMT. Le canal dédié à cet effet est déjà opérationnel apprend-on.
Rappelons que les poulains de Paulo Duarte, le nouveau sélectionneur sont déjà sur le sol Sénégalais. Ils ont disputé leur premier entrainement ce 29 août à Thiès. Ce fut « une séance légère de récupération après le long voyage de chacun. Aussi tactique avec du positionnement », a fait savoir le staff.
A la question « connaissez-vous l’histoire derrière la pièce de 25 F ? », un groupe de jeune a répondu par la négative. Alors si vous aussi vous faites partie des personnes qui ne connaissent pas l’histoire de « Kponon », cet article est pour vous.
Plusieurs œuvres humaines dans le monde sont signées ou porteuse d’une origine. Cela peut être le nom du concepteur ou une histoire qui laisse des traces. Dans ces lignes, allons à la découverte de la monnaie 25 F communément appelé « Kponon ».
Désignée en Ewé, une langue parlée dans le sud du Togo, le nom « Kponon » est lié à un aspect qui figurait sur la monnaie. Ainsi, sur le billet, se trouve une effigie qui a tout son sens et qui est attribué à la monnaie. Notons que 25 F était en billet avant de devenir une pièce.
Tete Kissitou, un togolais résidant aux Etats-Unis, a donné des explications suivantes : « sur le billet se trouvait une vache à bosse, une sorte de zébu appelé en ewé-mina « kponon » à cause de sa bosse. Ce qui signifie en français le bossu ou celui qui possède une bosse et c’est le nom qui est attribué à la pièce de 25 F.
Après changement du billet en pièce métallique, le nom est resté à cette devise coloniale. « Lorsque le billet de 25 F fut remplacé par la pièce de 25 Fr, le nom a persisté, raison pour laquelle nous continuons jusqu’à présent à désigner la pièce de 25 F “Kponon” », a ajouté Tete Kissitou.